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En Europe, c’est en Italie que l'empreinte de la crise sanitaire sur les comptes publics sera la plus forte: la dette publique y approcherait 160% du PIB fin 2020. Le risque associé à la dette italienne parait cependant très faible au regard des évolutions institutionnelles européennes et du fait qu'elle est principalement détenue par les résidents. Un haircut pénaliserait les investisseurs locaux au moment où ils devraient soutenir la relance, un conflit d’objectifs qui rend cette option improbable alors que l’Italie souffre avant tout d’un déficit de croissance et d'investissement.

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