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Depuis sa restructuration en 2012, la dette publique grecque, détenue aux 3/4 par des institutions publiques, bénéficie de conditions favorables en termes de maturité et de taux. Mais la hausse du ratio de la dette sur le PIB n'a pas été enrayée et surtout, le programme qui a porté Syriza au pouvoir implique une nouvelle négociation. Elle concernera au premier chef le FESF et les prêts bilatéraux européens.

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