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La croissance de l'économie italienne a été nulle au 2° trimestre alors que des facteurs externes (prix du pétrole et dépréciation de l’euro) mais également internes (mesures de soutien à l’emploi, baisse du coût horaire de la main d’oeuvre ou encore la faiblesse des prix) permettaient d’espérer une reprise plus robuste.

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