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La crise grecque et le début de contagion à d’autres pays de la zone euro, à quoi s’ajoute la menace de bien plus grande ampleur du Royaume-Uni, placent brutalement la question des déficits publics au centre du débat. Une thèse souvent exprimée est que la réduction des déficits risque de « casser la reprise » et qu’il vaut donc mieux attendre pour cela le retour de la croissance. Cette thèse peut s’avérer extrêmement dangereuse. La persistance des déficits publics à leur niveau actuel serait pour la croissance une menace plus forte qu’une réduction crédible et programmée.

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