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La croissance française a été faible au printemps dernier (1,3% l'an). Cette faiblesse tient à une stagnation de l'investissement productif et à une demande extérieure nette qui se dégrade encore. L'impact des turbulences financières de l'été sur la croissance reste délicat à apprécier.
Celles-ci s’opèrent sur fond d’une croissance européenne un peu moins vive qu’en début d’année et d’une tendance au durcissement très progressif des conditions du crédit aux entreprises comme aux ménages. La croissance française reste à la recherche de relais à une demande des ménages qui demeure le principal moteur d’une activité atone

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