Le ministre a souligné le lien intrinsèque entre défi environnemental et compétitivité: "Cela paraît tellement évident que la compétitivité, c'est faire pareil avec moins ; avec moins d'énergie, moins de matières premières, moins d'émissions. C'est tellement simple. La question souvent posée est : en avons-nous les moyens ? Mais avons-nous les moyens de faire des voitures consommant 30 litres au cent ? Au fond, réduire les intrants, c'est de la compétitivité. Ce sont des investissements dont la seule question est de savoir quel est le taux de retour sur investissement."