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La croissance américaine (2,1% l’an au 2e trimestre) repose sur le moteur de la consommation des ménages, secondé par celui des dépenses publiques. Elle est freinée par le recul des exportations et plus encore par celui de l’investissement (logement et productif). La révision des estimations des comptes des ménages et des sociétés confirme ce constat. La baisse de la part de la rémunération des salariés dans la valeur ajoutée, patente durant les années 2000, est maintenant franchement inversée.

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