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L’Italie traverse une zone de turbulences, qu'illustre la hausse des taux des obligations d’Etat, dans l’attente du référendum du 4 décembre sur le fonctionnement des institutions publiques. Ce scrutin a pris une ampleur internationale, le premier ministre M. Renzi ayant annoncé qu’il démissionnerait en cas de victoire du "non". Deux scenarii seraient alors possibles : la nomination d’un gouvernement intérimaire jusqu'aux élections de 2018, ou l’organisation d'élections pour l’été 2017.

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